Quel jour sommes-nous? Feat Eileen

Quel jour sommes-nous?

@Eileen Ainsworth

Un autre venait de se lever sur Willowden. Un jour parnis tant d'autres. Alors que beaucoup d'habitants prenaient ce jour tranquille, Eli lui devait retourner à son café. Il put se lever quelques heures plus tard qu'en semaine, car c'était samedi et que lea clients arrivaient plus tard. Étrangement, ce matin là, il serait rester au lit. Il dû tout de même se lever. Il prit le temps de s'étirer avant de se diriger vers sa salle de bain. Une bonne souche pour commencer la journée allait l'aider à démarrer du bon pied. Il prit une douche bien chaude et en quelques minutes, il ferna l'eau du robinet. Ne manquait plus à se sécher et s'habiller avant de se diriger vers son lieu de travail.

Selon la température, soit il prenait sa voiture ou il marchait, mais comme l'automne s'installait de plus en plus, il dû se resigner à prendre sa voiture. Cela lui peit qu'une quinzaine de minutes avant de se stationner derrière le café. Bien évidemment, les lumières et les toiles étaient baissés. La personne qui avait fait la fermeture la veille ne les avaient pas oublié. C'est avec un sourire qu'il mit la clé dans la serrure pour entre dans le commerce silencieux. Il commença à allumer les machines et le four. De cette façon, tout allait être prêt pour les premiers clients. Il ne fallait pas oublier les premières pâtisseries du jour. Il compta la caisse et assura que tout était disponible au comptoir. Lorsque huit heures arriva, il ouvrit les toiles, alluma la lumière pour indiquer que lw cafe était ouvert. Il se prépara un cappucino en attendant les premiers clients de la journée, tout en s'assurant que les pâtisseries ne brûlaient pas dans le four. Eli était connu dans la petite équipe pour brûler les croissants ou les brioches. Il était mieux devant la machine à café.

Lorsque sa première employée arriva, il en peofita pour s'occuper de la salle,bien qu'elle fut libre de toutes personnes. La journée était plutôt tranquilpe, sûrement dû à la temperature qui se faisait de plus en plus fraîche.

Quel jour sommes-nous?

@Eileen Ainsworth

Le propriétaire du café était en train de préparer une table alors qu'une fois se fit retentir alors que la porte était à peine ouverte. Cette voix lui disait quelque chose, alors il se retourna et vit la jeune Eileen traverser la salle pour se rendre au comptoir.

"Bon matin Eileen! Je vais bien et toi?" Il lui offrit un chaleureux sourire. "Ça tombe bien, j'en ai du frais qui t'attendait!"

Il accompagna sa réponse d'un léger sourire. Il était heureux de revoir son amie. Comme un chef d'orchestre, il se mit à l'action pour lui faire son café comme elle l'aimait, c'était-à-dire bien corsé. Il trouvait gratifiant d'offrir de bonnes boissons à ses clients lorsqu'ils en avaient besoin, surtout si tôt le matin, quand visiblement la veille avait été plutôt difficile. Il lui tendit le café en premier. Il allait préparer le déjeuner pour emporter sous peu, il avait bien l'impression qu'ils pouvaient bien prendre un peu de temps pour papoter aussi. Après tout, cela faisait un petit moment qu'Eileen n'était pas venu faire un tour chez LeNoir.

"La mienne à été visiblement plus tranquille que la tienne. On dirait que tu t'en est toujours pas remit."

Petit sarcasme venant de la part d'Eli, car n'importe qui aurait bien pu voir qu'Eileen avait été dans une soirée mouvementée et qu'elle avait très peu dormi la nuit dernière. Un bon café et accompagné d'une déjeuner allait lui donner des forces et la réveiller.

"Je crois que c'est la meilleure façon de s'en remettre. Qu'aimerais-tu avoir? Croissant aux œufs? Bagels avec fromage à la crème ou en BLT?"

Dit-il en lui proposant quelques articles du menu. Les déjeuners étaient tous fait à la commande, alors il prendrait quelques minutes pour le lui préparer. Seulement les sandwiches dès le midi étaient préparés à l'avance, car souvent les travailleurs venaient chercher à manger rapidement et quittaient pas la suite. Alors ils n'avaient pas trop le temps de tout faire sur place, mais le matin les gens avaient légèrement plus de temps. Donc c'était un petit luxe qu'il pouvait se permettre.